La défense dans une bataille d'arrière garde est un exercice délicat, surtout avec un ratio de 2/1. Le Stagiaire Waldi s'en est sorti avec les honneurs.
Voici les plans de bataille proposés par le Stagiaire Waldi et le Directeur Bruguière:
Et leurs application:
6h00 : les premiers ordres donnés sont exécutés par les chefs de corps qui se mettent en place aux positions indiquées.
Le corps de De Wrede, lui, ne commencera sa manœuvre qu'une fois que les troupes situées sur sa droite assureront son flanc.(voir ci-dessous les 2 captures d'écran)
10h30 : des ordres ont été donné aux corps situés aux centre, ceux-ci seront effectués aux alentours de 11h00. Tandis que la droite alliée soutiendra l'assaut, en distrayant les troupes situés sur le flanc de l'attaque.
13h05 : L'attaque au centre s'est heurtée à une cavalerie française des plus redoutables, elle s'est battue pendant plus de 2heure avant de commencer à faiblir. De Wrede a reçu un nouvel ordre afin de disloquer complétement le centre français. Tandis que Yermalof soutenu par Frimont monte à son tour à l'assaut. À droite Gyulay et Wutemberg ont joué leur rôle de fixateur.
La gauche alliée, elle, attend patiemment son heure, pendant que Rajesky joue les trouble-fête, sur l’extrême gauche allié depuis le matin.
15h05 : le centre français est disloqué. Les alliés sont en retard sur leur planning. Gyulay poursuit sont travail après avoir fixé la gauche française celui-ci poursuit son mouvement afin de capturer les LOPs. Au centre malgré des directions différentes données à De Wrede et Olsuviev, ceux-ci se retrouve enchevêtrer dans une disposition de soutient mutuel.
16h44 : suspension d'arme.
Pour résumer notre ami, le Stagiaire Waldi n'a pas démérité malgré une grosse infériorité numérique, il a réussi à nous priver de victoire stratégique, bien qu'il n'est pas atteint les objectifs fixés par le Professeur Baurya. Autrement, peut-être a-t-il eu un problème de déploiement mais je trouve que son artillerie aurait été plus efficace si elle avait été déployé au centre de sa ligne de bataille.