Il y a comme un écho....pour le général Belliard, je confirme son interrogation!
Pardonnez-moi pour l'écho bruyant .... mes excuses
.... quelle est la question suivante, s'il vous plaît ?
... Malgré ses blessures, il se bat à Hanau et rentre à Mayence avec les débris de l'armée. Le maréchal Berthier ayant suivi Napoléon à Paris, Belliard est
nommé major général de l'armée et envoyé en cette qualité à Metz, où il la réorganise, mettant les troupes françaises, manquant de tout, atteintes par le typhus, en mesure de résister au nouveau choc des Alliés.
Pendant la campagne de France, Belliard commande un corps de cavalerie. Le
11 février 1814, portant un bras en écharpe, il charge les Russes retranchés à la ferme de la Haute-Épine et contribue à la victoire de Montmirail.
Le 12, au Combat de Château-Thierry, l'extrême droite de l'armée prussienne est tournée par ses escadrons et se sauve en désordre à travers les bois.
Le 10 mars, devenu commandant de toute la cavalerie de la garde, il prend part à la bataille de Laon.
Le 12, il est à Reims, et le 25 à la bataille de La Fère-Champenoise, où la cavalerie ne cède que devant des forces supérieures.
Le 30 mars vers 23 heures, Belliard, venu aux devants de l'Empereur, lui apprend à Juvisy-sur-Orge, à l'auberge de la Cour de France, la capitulation de Paris. Il se trouve à Fontainebleau avec les généraux Drouot, Bertrand et Caulaincourt lorsque Napoléon fait ses adieux. Il ne quitte Fontainebleau qu'après le départ de Napoléon pour l'île d'Elbe .
Au retour de Louis XVIII, le général Belliard est arrêté, cassé dans ses titres et rayé de la liste des Pairs de France pour avoir accompagné l'Empereur lors des Cent-jours.
Le 21 novembre 1815, il est conduit à la Prison de l'Abbaye, avec les généraux Drouot, Cambronne et d'Ornano.
Après plusieurs mois de captivité, il est remis en liberté et entre dans la vie privée, d'où il ne sort qu'au
5 mars 1819, époque où le ministère Decazes le rappelle à la Chambre des pairs ...
Bonsoir Mssrs. ...