Auteur Sujet: Le plans des coalisé  (Lu 4044 fois)

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Le plans des coalisé
« le: 27 septembre 2014, 17:09:01 pm »
Plan d'action du camp coalisé durant la campagne 1814/2014.


La stratégie que nous voulions développer était basé sur la rapidité soutenu par un impact puissant en première intention.
Pour cela nous allions utiliser notre flotte supérieure à nos adversaires elle nous permettrait de débarquer en force.
Nous n'avions que peu de temps, la route jusqu'à Paris était longue et en 30 tours il ne fallait pas trainer,  le Blitz-Kreeg  était lancé et notre offensive majeure partirait de l'Espagne.
Nous décidions donc de travailler notre DEM (Odb Général de l'armée coalisé) en le déséquilibrant volontairement en faveur des troupes qui devaient attaquer en première main.
Une large partie de notre armée fut battit avec un coefficient de 1 et 1,2 notamment nos 50M Russes de renfort, ainsi que la moitié de l'armée d'italie.
Blücher (Redhot) au nord Radetsky en Bohême restaient avec un coef moyen de1,5.
Du coup 73MH de Bellegarde (Bertrand) se retrouvait avec 1,8 en coefficient et les troupes britannique de Wellington passait au alentour de 1,7, de quoi aligner d'excellents soldats.
L'armée des Asturie du Général Wellington (Baurya) serait renforcé en plus des 50MH de Bianchi
( réserve tactique / Davout chez les français) l'armée de Catalogne commandé par le Général Clinton pas très bien équipé attendrait Bellegarde et ses troupes d'élites, qui devait débarquer sur Barcelone.

Les premiers tours à l'avantage des Français.

73MH de Bellegarde trier sur le volet embarquent de Venise, Trieste et Fiume direction Barcelone.
En Espagne à San Sébastien face à nous l'armée des Pyrènnées et la réserve de Davout, l'opposition promettait d'être âpre.
En Catalogne Suchet face à Clinton.  Ces deux armées étaient équivalente en nombre d'hommes, environ 40MH de chaque coté mais, si les français possédaient une force équilibré, Clinton qui attendait les renforts de Bellegarde ne possédé que peu d'artillerie très peu de Cavalerie et aucune troupes d'élite.

Suite à un cafouillage maritime de notre part et une météo peu clémente le voyage de Bellegarde qui ne devait prendre que 4/5 tours, s'étira considérablement. De plus nos adversaires avaient compris  notre volonté de débarquer à Barcelone, les affaires se compliqués sérieusement.
Suchet faisait mouvement vers Barça qui, vue les forces coalisé en présences, allait prendre la capitale Catalane.  Bellegarde allait se retrouver coincé en plein mer. Seule compensation, dans les Asturies, l'armée de Soult aller se faire prendre en tenaille et être obligé de faire demi-tour pour un temps.
Un grand moment de doute planait à ce moment sur le GQG Coalisé....Paris semblait de plus en plus loin.

Quelques tours plus loin.

Nous devions réagir et vite, la décision fut prise de débarquer sur Anvers le front de l'invasion venait de changé et c'est Blucher qui devait préparer le terrain.
Bellegarde bloqué en pleine mer avec nos troupes d'élite venait de trouver une porte d'entrée, éloigné mais jouable.
Dans le même temps la pression et les manœuvres en Espagne devaient maintenir le maximum de troupes française et leur faire croire que notre plans était toujours de débarquer sur la péninsule Ibérique.

En Bohême  les même ordres, attirer l'ennemi et une fois fait, le contraindre à rester sur place le plus longtemps possible , il fallait laisser le temps à Blücher de prendre Anvers et à Bellegarde de finir son long voyage..
Et, c'est exactement ce qui c'est passé, l'acharnement non payant des français en Espagne et la destruction de leur flotte au large de San Sébastien (flotte qui avait pour but de nous empêcher de débarquer)    entériner notre suprématie maritime et permettait à Bellegarde de continuer son chemin sans encombre, ce qui plus tard ferais très mal au Général Lefèvre...
En Bohême Napoléon en personne décidait de descendre corriger Radetsky et Schwarsenberg qui s'agitaient à sa frontière.
la victoire n'était pas souhaité la défaite exclu, nous voulions le match nul pour multiplier les engagements et maintenir Bonaparte et son armée sur place.
Tout se passa comme prévu, les dieux de la guerre étaient avec nous les mouches venaient de changer d'âne...

Nos adversaire prirent conscience mais un peu tard de notre véritable intention d'attaquer au nord.
Avec le retard qu'ils avaient prit, l'avancé  de nos troupes ne pouvaient plus être contenue, en Bohême bien que victorieux Bonaparte avez perdu du temps  beaucoup d'hommes et se retrouvait à bonne distantes de notre nouvelle offensive au nord.
En Italie les troupes de Eugène remontaient en masse vers Paris, elles aussi, se trouvaient loin des affaires tout comme Soult et Davout, coincé et hésitant la-bas très loin en Espagne, nous laissant même le temps d'embarquer 30M Anglais à Bayonne et leur fameux dragons lourds .

Blücher sans vraiment d'oppositions continuait son chemin les villes clé tombaient les une après les autre, Bruxelles, Charleroi, Soissons et Reims assiégé.
Je tiens à souligner la grande compétence du général Blücher dans les mouvements et les détachement de troupes, garder toutes ses meilleures troupes et tout son parc d'artillerie soit 215 canons reparti en 80MH et envoyer les plus faible de ses soldat 50MH au siège de Lille pour laisser croire à Marmont  coincé au nord de Paris de sa supériorité avec ses 113MH.
Bellegarde lui, commençait à débarquer sur Anvers avec toutes ses troupes d'élite dont une partie avait pour ordre de marcher sur Boulogne pour libérer le port et faire débarquer les anglais qui se trouvaient dans la rade ainsi que les renforts russes  (50M Fantassins de ligne).
Puis vains la trêve de mi-campagne.

Le coup de grâce.

Marmont à la tête de ses 113MH décide de bouger, il fait l'erreur de couper son armée en deux, une petite partie dont toute sa cavalerie lourde ou presque et 20MH de Lefévre partirent pour Charleroi...Ils n'avaient pas vue arriver Bellegarde et ses troupes d'élites, garde, cav lourde, artillerie conséquente, se fut un massacre aucun survivant coté français après la rencontre.
Le reste de l'armée de Marmont elle était voué à attaquer Blücher, supérieure en nombre mais pas en puissance, elle fut balayé en 4h de combat.
Certainement le plus beau mouvement de cette campagne, Bravo à tous les Généraux vous avez été un modèle de précision, d’anticipations et de coordination, à diffuser sans modérations dans toutes  les écoles de guerres

La suite vous la connaissez le camp français ne peut qu'abdiquer, la victoire coalisé est proclamé.







« Modifié: 28 septembre 2014, 12:00:42 pm par Belliard »